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Un 1 er juillet

3 juillet 2009

EPHEMERIDES

1804 :Naissance de George Sand (Amantine Aurore Lucile Dupin), écrivain français (8 juin 1876)

  • 1926 : Naissance de François-Régis Bastide, écrivain français.
  • 1934 :Naissance de René Victor Pilhes, écrivain français (La Rhubarbe -Prix Médicis en 1965-, L’Imprécateur -Prix Femina en 1974-, La Médiatrice, La Faux, …)
  • À propos de Artisan de l'ombre

    Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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    5 Réponses à “Un 1 er juillet”

    1. ami sougri Dit :

      George Sand, romancière et écrivaine française, est le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, plus tard baronne Dudevant, née à Paris (Anciennement au n° 15 de la rue Meslay, au 46 actuellement, 3e arrondissement) le 1er juillet 1804 et morte à Nohant le 8 juin 1876.

      Elle écrivit des romans, des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre, une autobiographie, des critiques littéraires, des textes politiques

    2. ami sougri Dit :

      Naissance d’une écrivaine
      Amantine Aurore Lucile Dupin, femme de lettres romantique, naquit à Paris en 1804. Elle était toutefois mieux connue sous le pseudonyme de George Sand. Elle était la fille de Maurice Dupin et de Sophie Victoire Delaborde, la petite-fille de Charles Louis Dupin de Francueil. Par son père, elle est l’arrière-petite-fille du maréchal général de France Maurice de Saxe (1696-1750), bâtard légitimé d’Auguste II de Pologne, prince électeur de Saxe et roi de Pologne.

      En 1831, George Sand commença sa carrière en travaillant pour le Figaro. Avec son amour, Jules Sandeau, elle rédige, sous le pseudonyme J. Sand, de nombreux articles. Ce n’est que plus tard qu’elle adopta, pour les textes qu’elle rédigeait seule, le nom de George (sans « s ») Sand. Elle commença à parler d’elle-même sous la forme masculine ; elle se plut à porter des vêtements d’homme, à fumer des cigares et à avoir de nombreux amants ; elle essaya également d’entrer dans les endroits réservés aux hommes, comme les bibliothèques restreintes, les musées et la fosse du théâtre, ce qu’elle parvint à faire en s’habillant comme un homme. Beaucoup supposaient que George essayait de devenir un homme ; en fait, elle se battait contre le stéréotype des femmes, afin qu’elles aient les mêmes libertés que les hommes.

      George Sand n’était pas la première femme écrivain ni la dernière à user d’un pseudonyme masculin en France mais fut l’une des premières françaises à vivre de sa plume. En utilisant un pseudonyme masculin, elle souhaitait se faire l’égale des hommes. Elle voulait être jugée non pas en tant que femme, mais sur la base de ses talents.

      George Sand a été lue par les hommes et les femmes. Dans ses écrits, elle décrivait les femmes comme des individus à part entière, rendait ses lectrices plus confiantes en elles-mêmes, et elle devint l’idole de toutes les femmes.

      Juste un an après avoir commencé à travailler à son nouvel emploi, elle publia son premier livre Rose et Blanche, en collaboration avec Jules Sandeau. Par la suite, elle travailla beaucoup à la création d’un second livre, Indiana, lequel, cette fois était son œuvre personnelle. Six mois plus tard, elle révéla un brouillon de son roman suivant, Valentine. Même si ses deux premiers romans furent des succès, seul son troisième roman, Lélia, lui apporta la gloire. Peu après sa publication, George Sand entra dans le cercle des grands auteurs français, et fit dès lors partie des écrivains les mieux rémunérés.

      Elle eut de nombreux rapports ouverts avec les hommes célèbres qu’elle connaissait à Paris, dont Jules Sandeau, Alfred de Musset, Honoré de Balzac (auquel elle consacre quelques pages spirituelles et amicales dans Histoire de ma vie) et Frédéric Chopin.

      Après Jules Sandeau, sa liaison suivante fut avec Alfred de Musset, un jeune auteur. Mais juste une année plus tard, Musset tomba malade à Venise et George s’éprit du docteur Pietro Pagello, qui le soignait.

      En 1834, George revint avec Pagello à Paris, où elle se réconcilia avec Musset. Mais ils continuèrent à avoir de nombreuses disputes qui conduisirent à des séparations répétées ; ils décidèrent finalement de mettre fin à leur relation. De 1835 à 1837, George Sand fut l’amante de Michel de Bourges, l’avocat qui défendait ses intérêts, ardent républicain et futur député.

      George eut d’autres relations après Musset, mais aucune aussi remarquable que celle qu’elle eut avec Frédéric Chopin. Ils se rencontrèrent en 1836. Ils avaient une liaison compliquée. Ils devinrent amis, puis amants pour se comporter finalement comme mère et fils.

    3. ami sougri Dit :

      Œuvres George Sand (Amantine Aurore Lucile Dupin), écrivain français

      Le Commissionnaire (avec Jules Sandeau) (1830).
      Rose et Blanche (avec Jules Sandeau, roman, 1831)
      La Fille d’Albano (1831)
      Valentine (roman, 1831)
      Indiana (roman, 1832)
      Lélia (roman, 1833)
      Aldo le Rimeur (1833)
      Une conspiration en 1537 (1833)
      Journal intime (1834)
      Jacques (roman, 1834)
      Le Secrétaire intime (roman, 1834)
      La Marquise (roman, 1834)
      Garnier (conte, Urbain Canel / Adolphe Guyot 1834)
      Lavinia (1834)
      Métella (1834)
      André (roman, 1835)
      Mattéa (1835)
      Leone Leoni (roman, 1835)
      Simon (roman, 1836)
      Mauprat (1837)
      Dodecation, ou le Livre des douze. Le Dieu inconnu (1837)
      Les Maîtres mozaïstes (roman, 1838)
      La Dernière Aldini (roman, 1838)
      L’Orco (1838)
      L’Uscoque (roman, 1838)
      Gabriel (dialogue, 1839) [lire en ligne]
      Spiridion (roman, 1839)
      Les Sept Cordes de la lyre (théâtre, 1840)
      Cosima, ou la Haine dans l’amour (théâtre, 1840)
      Pauline. Les Mississipiens (roman, 1840)
      Le Compagnon du tour de France (roman, 1841)
      Mouny Roubin (1842)
      Georges de Guérin (1842)
      Horace (1842)
      Un hiver à Majorque (récit, 1842)
      La Comtesse de Rudolstadt (roman, 1843)
      La Sœur cadette (1843)
      Kouroglou (1843)
      Carl (1843)
      Jean Zizka (roman historique sur la vie de Jan Žižka, chef de guerre hussite, 1843)
      Consuelo (roman, 1843)
      Jeanne (roman, 1844)
      Le Meunier d’Angibault (roman, 1845)
      La Mare au diable (roman, 1846)
      Isidora (roman, 1846)
      Teverino (roman, 1846)
      Les Noces de campagne (roman, 1846)
      Evenor et Leucippe. Les Amours de l’Âge d’or (1846)
      Le Péché de M. Antoine (1847)
      Lucrézia Floriani (roman, 1847)
      Le Piccinino (roman, 1847)
      La Petite Fadette (roman, 1849)
      François le Champi (roman, 1850)
      Le Château des Désertes (roman, 1851)
      Histoire du véritable Gribouille (1851)
      Le Mariage de Victorine (théâtre, 1851)
      La Fauvette du docteur (1853)
      Mont Revèche (1853)
      La Filleule (1853)
      Les Maîtres sonneurs (1853)
      Adriani (1854)
      Flaminio (théâtre, 1854)
      Histoire de ma vie (autobiographie, 1855)
      Autour de la table (1856)
      La Daniella (1857)
      Le Diable aux champs (1857)
      Promenades autour d’un village (1857)
      Ces beaux messieurs de Bois-Doré (1858)
      Elle et lui (récit autobiographique sur ses relations avec Musset, 1859)
      Jean de la Roche (1859)
      L’Homme de neige (1859)
      Narcisse (1859)
      Les Dames vertes (1859)
      Constance Verrier (1860)
      La Ville noire (1861)
      Valvèdre (1861)
      La Famille de Germandre (1861)
      Le Marquis de Villemer (1861)
      Tamaris (1862)
      Mademoiselle La Quintinie (1863)
      Les Dames vertes (1863)
      Antonia (1863)
      La Confession d’une jeune fille (1865)
      Laura (1865)
      Monsieur Sylvestre (1866)
      Le Don Juan de village (théâtre, 1866)
      Flavie (1866)
      Le Dernier Amour (1867)
      Cadio (théâtre, 1868)
      Mademoiselle Merquem (1868)
      Pierre qui roule (1870)
      Le Beau Laurence (1870)
      Malgré tout (1870)
      Césarine Dietrich (1871)
      Journal d’un voyageur pendant la guerre (1871)
      Francia. Un bienfait n’est jamais perdu (1872)
      Nanon (1872)
      Contes d’une grand’mère vol. 1 (1873)
      Ma sœur Jeanne (1874)
      Flamarande (1875)
      Les Deux Frères (1875)
      La Tour de Percemont (1876)
      Contes d’une grand’mère vol. 2 (1876)
      Marianne (1876)
      Légendes rustiques (La Reine Mab. La Fée qui court. Fanchette) (1877)
      L’Orgue du Titan (1873)
      Les Ailes du courages

    4. ami sougri Dit :

      René-Victor Pilhes est un écrivain français et ancien publicitaire, né en 1934.

      Pilhes a commencé à travailler comme publicitaire à Air France, puis à Publicis, comme directeur de la création et membre du directoire, avant de se consacrer entièrement à la littérature où il pose sur la société le regard d’un moraliste. Il sera également administrateur de TF1. Il se marie le 19 décembre 1959 à Nicole Ingrand, avec qui il a trois enfants : Nathalie, Laurent, Maria.

    5. ami sougri Dit :

      Œuvre littéraire
      Son œuvre la plus connue est L’Imprécateur, qui a connu un gros succès en France, avec plus de 600.000 exemplaires vendus. En vérité, l’œuvre de cet auteur est bien plus complexe qu’il n’y paraît aujourd’hui. Il suffirait de se référer aux critiques, archivées chez les éditeurs, pour s’en convaincre.[réf. nécessaire] Par exemple, son ouvrage Le Loum s’inscrit dans la littérature psychanalytique.[réf. nécessaire] Le livre a fait l’objet d’une lecture publique à Genève et figure dans l’Anthologie de la littérature érotique de Jean-Jacques Pauvert. Considéré généralement comme un écrivain très original par son style et son imaginaire[réf. nécessaire], récompensé par les prix Médicis et Femina, Pilhes pense aujourd’hui avoir été victime dans les années 90 d’un torpillage en règle à la suite de la parution de son roman L’Hitlérien[réf. nécessaire], qui critiquait les excès d’Israël contre les Palestiniens, et qui fut dénoncé comme antisémite par certains[réf. nécessaire]. Pilhes fut pourtant invité à Apostrophe pour cet ouvrage. On pourra mieux connaître cet auteur dans son livre d’entretiens avec Maurice Chavardès, Les Plaies et les Bosses, (épuisé) ainsi que dans La Littérature contemporaine de Jérôme Garcin (Mille et une nuits) . Retraité, il a six petits-enfants dont l’aîné, Arsène, l’aide à classer ses archives et à retrouver une visibilité justifiée par l’importance de son œuvre[non neutre].

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