Décès
Un 19 juin
18 juin 2009
S'abonner
Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir les mises à jour par e-mail.
18 juin 2009
Décès
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
Voir tous les articles de Artisan de l'ombre →Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir les mises à jour par e-mail.
J'ai couvé un oeuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent.
Citations de Erasme
Recherchez aussi :
Vous devez être connecté à votre compte pour me contacter
Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Le docteur Mekki Yahia est praticien au laboratoire de virologie à l’hôpital Edouard Herriot et à la faculté Claude Bernard de médecine à Lyon, chef de service sérologie virale, membre de la commission du diagnostic prénatal des affections virales chez la femme enceinte, membre de l’association de suivi des transplantés d’organes et des greffes de tissus à Lyon.
Bediar Bouharket
Bédiar Bouharket est un modeste sculpteur originaire de la région de Sougueur . Il est ingénieur en physique de formation mais grand amateur de beaux-arts, il a d’ailleurs suivi une formation dans ce domaine dans les années 94/96 dans la ville italienne berceau de l’art, Florence
Kelouche Mohamed Kheir Eddine
Né le 17 décembre 1966 à Sougueur
http://nadorculture.unblog.fr/2008/08/24/kelouche-mohamed-kheir-eddine/
Zami Mohamed
Né le 25 janvier 1972 à Sougueur.
http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/31/zami-mohamed-cv/
Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud est journaliste au Quotidien d'Oran. Il y tient la chronique « Raïna Raïkoum », réputée pour son franc-parler et la clarté de ses analyses.
, شكرا جزيلا على زيارتكم و نتمنى عودتكم
18 juin 2009 à 19 07 15 06156
Michel de Saint Pierre,
Gentilhomme des Lettres…
Michel de Saint Pierre, hobereau normand, est aujourd’hui tombé dans l’oubli. Il est temps de redécouvrir une œuvre à la fois éclectique et attachante, une vie entièrement consacrée à la littérature…
» Je n’ai jamais cessé d’avoir l’obsession d’écrire. »
Michel de Saint Pierre.
ATTENTION !!!
En mars 2005, un nouveau site sur MSP, plus d’infos, plus de photos, un forum…
A bientôt !!!
18 juin 2009 à 19 07 16 06166
Michel de Grosourdy, marquis de Saint-Pierre est né à Blois le 12 février 1916. Il fait ses études (Saint-Jean-de-Béthune, Versailles) chez les Eudistes et ensuite à l’Institut Catholique.
Il est bachelier en philosophie et diplômé d’un certificat de Licence (études littéraires classiques) mais s’ennuie sur les bancs de la faculté et manifeste peu de goût pour les études. A dix-huit ans, il part pour Saint-Nazaire et travaille comme manoeuvre non spécialisé aux Ateliers et Chantiers de la Loire (un an). Il s’engage dans la Marine (près de 4 ans); matelot de pont pour commencer sur La Marseillaise, et exerce différents métiers manuels avant la guerre. Il se trouve, en 1940, sur Le Foch, de la 3ème Escadre, et participe à différents engagements navals. Il s’inspirera de cette période pour écrire La Mer à Boire (1951), dont il écrit : » La Mer à Boire est toute remplie d’une double nostalgie qui fut la mienne : celle du sacrifice de la guerre, et celle des paresses inoubliables de la mer. « . Dès 1941, il participe à la Résistance (il dirige avec Emmanuel de Robech un important réseau de renseignements, Vélitre-Thermopyles). La principale activité du réseau porte sur l’étude de la fabrication des V.1, ainsi que l’emplacement de leurs rampes de lancement.
A la sortie de la deuxième guerre mondiale (le 2éme bureau lui demande de se mettre à son service mais il refuse), il se lance dans une « carrière littéraire » sous le patronage se son illustre cousin Henry de Montherlant (celui-ci préface Contes pour les Sceptiques) dont il s’inspirera par ailleurs pour le personnage d’Alexandre Damville dans Les Ecrivains.
Son premier livre, il le rédige alors qu’il est matelot. C’est sa mère qui tape le manuscrit et l’apporte à La Varende. Michel de Saint Pierre, encore en mer, reçut le texte de la préface de La Varende. L’écrivain est alors âgé de 18 ans. « …la première grande joie littéraire de ma vie… ». Vagabondage (qui n’est pas un roman) est publié chez Aubanel, à Avignon.
Son premier roman (Ce Monde Ancien) est une sorte d’autobiographie imaginaire dont dira André Maurois : « Voici un roman où les thèmes sont à la hauteur du sujet : la condition humaine, la lutte des classes, le désespoir de la jeunesse, tout y est. »
Il accède à la notoriété à 38 ans quand il publie en 1954 Les Aristocrates qui est vendu à 250 000 exemplaires.
La bibliographie, l’œuvre de Michel de Saint-Pierre est abondante et variée : romans, enquêtes, pamphlets, contes, poèmes, nouvelles, récits de voyage, études historiques…
Grand voyageur, il a donné à la presse des reportages sur le Canada, les Etats-Unis, le Mexique…
Aux Editions de La Table Ronde, il assura aussi les fonctions d’agent littéraire, de directeur de collection, de conseiller et aussi d’administrateur.
Au sein des Editions France-Empire, il crée et dirige une collection appelée « Catholique ».
Un don Quichotte du fusil :
Michel de Saint-Pierre était un amoureux de la nature et de Saint Hubert (un « don Quichotte du fusil » selon Huguette Prunelé) ; son œil de chasseur, il l’utilise aussi pour écrire. En particulier dans Les Aristocrates où les descriptions de scènes de chasse sont nombreuses et où la nature est un personnage à part entière :
« L’abbé, selon son habitude, avait trouvé le moyen de se tremper jusqu’au ventre. Il était fourbu, ravi, triomphant et sanguinaire. Il avait tué onze sarcelles, à lui tout seul. Plus un colvert et deux albrans. Sans parler d’un malheureux chat occis au bord d’une haie, près de l’étang ; d’une pie et d’un héron ; et d’une grive qu’une décharge de plein fouet avait éparpillé dans l’éternité. Onze sarcelles. Arrêtées en pleine course, les petites rameuses d’espace avaient fait leur culbute éblouie, roues d’ailes claires, éventails de plumes. La tête de l’abbé résonnait de détonations. Il ouvrit son fusil, approcha son nez du canon pour l’unique plaisir de sentir encore l’odeur de la poudre. Au revers de sa main, une plume fauve et légère tremblait, scellée d’une goutte de sang ronde comme un cachet de cire.
Gontran était furieux. Il avait tué trois oiseaux, en tout et pour tout. (…)
Barfeuille était bredouille. Il prétendait avoir . Les magnifiques chiens de M. de Conti, deux Golden-Retrivers, avaient cherché la bécassine en vain, sous l’œil ironique des gardes… (…)
18 juin 2009 à 19 07 17 06176
Saint-Pierre dans le texte…
1) Les Ecrivains, Calmann-Lévy, 1957.
C’est Alexandre Damville, écrivain, qui parle dans ces deux extraits, il s’adresse à sa secrétaire :
» Un écrivain est un homme traqué, Mademoiselle. Vous le constaterez par vous-même. Il y a deux sortes d’humains : les créateurs et les impuissants. Or, tout se passe comme si les seconds rendaient en haine ce que les premiers leur donnent en mépris. Vous verrez ; il existe par le monde une extraordinaire conspiration des imbéciles et des incapables, ligués contre ce qui est fécond, indépendant et fier. Ils sont puissamment organisés. A côté d’eux, les agents de l’intelligence Service et les Jésuites eux-mêmes sont des enfants. Eh bien, c’est à eux que vous aurez affaire – aux imbéciles, aux incapables ! Je vous engage à mon service comme on embauche un garde du corps : pour me protéger… »
» Parce que, Mademoiselle, la création littéraire entraîne plus de dépense nerveuse que n’importe quelle autre activité humaine. Beaucoup plus que l’amour, et plus encore que la guerre. Vous pouvez m’en croire sur parole. Il se trouve que la lecture des journaux m’irrite ou me déprime. Si donc, cédant à ma curiosité des événements, je commence ma journée par ouvrir des gazettes, je suis fichu. Mon travail de la matinée est fichu… »
» Tu es un animal heureux, tu aimes la vie et tu crois en toi-même. C’est impardonnable çà ! » dit son éditeur à Georges Damville (le fils, écrivain aussi).
» Il faisait chaud sous le bleu de l’air et Georges admirait les femmes de mai, prématurément fleuries de robes vives. »
2) La Mer à Boire, Calman-Lévy, 1951.
» Marc songeait à l’extraordinaire soumission de l’être humain. Les trajets qu’il faisait chaque jour en métro pour aller à ses cours de médecine lui vinrent à l’esprit. Heure d’affluence. Des gens pressés dans l’espace et pressés dans le temps, femmes au chapeau inquiet, hommes au coude agressif… Cependant chaque homme, chaque femme acceptaient l’inconfort, le contact des fesses ambiantes, la moiteur générale et ce bouquet d’haleines. Excusez-moi, monsieur, disait à la ronde un jeune gaillard bien mis, d’allure sportive, qui se laissait bousculer. Vigueur physique humiliée – fantaisie vestimentaire étranglée – mille autres symptômes : de toutes parts on attendait à l’épanouissement de l’homme. On nivelait le monde à coups de grands mots sourds tels que social et collectif. Pourquoi ? Dans quel but ? Et comment finirait ce piétinement, cette conspiration des troupeaux ? »
3) Dieu vous garde des femmes, Denoël, 1955.
Ce recueil comprend 12 nouvelles :
Dieu vous garde des femmes, Les pigeons en compote, Le chasseur de rats, La neuvième symphonie, Le lièvre de Noël, Mademoiselle de Fondreuil, La fête en forêt, Les oiseaux maudits, La vieille dame et le hasard, Mouton, L’ascension de Mimi, La raquette du Viking.
Sa devise :
C’est celle du personnage principal de son roman Ce Monde Ancien, Gilles de Lointrain.
» Gilles se détourna. Il passa sans bruit devant la porte du salon et pénétra dans le capharnaüm qui lui servait de chambre. (…)
Des souliers poudreux, des chaussettes trouées, des chemises traînaient sur les meubles et des cravates s’enroulaient un peu partout comme des serpents endormis. Une machine à écrire, sur le bureau. Le mobilier était moderne, assez beau, mais encombré de livres, de cahiers et de papiers. Gilles interdisait qu’on fît le ménage dans son antre.
Il se fraya un chemin à travers les objets épars. A certains endroits cela montait vers le plafond. Le garçon, éprouvant le besoin de donner une forme à son indépendance, cultivait un prodigieux laisser aller, une totale inaptitude à l’ordre et à la classification. Le résultat était cette chambre envahie de limon littéraire qui se déposait de jour en jour. (…)
Le désordre ambiant l’apaisait. Le tempétueux désordre de sa chambre. (…)
Parmi toutes ces photographies, Gilles avait fixé au moyen de punaises deux papiers d’un blanc douteux. Sur l’un était écrit à l’encre rouge : >. Et sur l’autre : >. Il jugea comique la formule >. Il ne trouvait pas avec précision les motifs de ce ridicule mais il le percevait brusquement, dans une intuition. Ecartant du pied quelques livres, il arracha le papier et lut à haute voix : >. Il rougit, déchira la feuille en menue pièces qui neigèrent dans la chambre. Puis il avisa l’autre papier : > Il tira de sa poche un bout de crayon, et souligna deux fois. »
Saint-Pierre dans le texte…
1) Les Ecrivains, Calmann-Lévy, 1957.
C’est Alexandre Damville, écrivain, qui parle dans ces deux extraits, il s’adresse à sa secrétaire :
» Un écrivain est un homme traqué, Mademoiselle. Vous le constaterez par vous-même. Il y a deux sortes d’humains : les créateurs et les impuissants. Or, tout se passe comme si les seconds rendaient en haine ce que les premiers leur donnent en mépris. Vous verrez ; il existe par le monde une extraordinaire conspiration des imbéciles et des incapables, ligués contre ce qui est fécond, indépendant et fier. Ils sont puissamment organisés. A côté d’eux, les agents de l’intelligence Service et les Jésuites eux-mêmes sont des enfants. Eh bien, c’est à eux que vous aurez affaire – aux imbéciles, aux incapables ! Je vous engage à mon service comme on embauche un garde du corps : pour me protéger… »
» Parce que, Mademoiselle, la création littéraire entraîne plus de dépense nerveuse que n’importe quelle autre activité humaine. Beaucoup plus que l’amour, et plus encore que la guerre. Vous pouvez m’en croire sur parole. Il se trouve que la lecture des journaux m’irrite ou me déprime. Si donc, cédant à ma curiosité des événements, je commence ma journée par ouvrir des gazettes, je suis fichu. Mon travail de la matinée est fichu… »
» Tu es un animal heureux, tu aimes la vie et tu crois en toi-même. C’est impardonnable çà ! » dit son éditeur à Georges Damville (le fils, écrivain aussi).
» Il faisait chaud sous le bleu de l’air et Georges admirait les femmes de mai, prématurément fleuries de robes vives. »
2) La Mer à Boire, Calman-Lévy, 1951.
» Marc songeait à l’extraordinaire soumission de l’être humain. Les trajets qu’il faisait chaque jour en métro pour aller à ses cours de médecine lui vinrent à l’esprit. Heure d’affluence. Des gens pressés dans l’espace et pressés dans le temps, femmes au chapeau inquiet, hommes au coude agressif… Cependant chaque homme, chaque femme acceptaient l’inconfort, le contact des fesses ambiantes, la moiteur générale et ce bouquet d’haleines. Excusez-moi, monsieur, disait à la ronde un jeune gaillard bien mis, d’allure sportive, qui se laissait bousculer. Vigueur physique humiliée – fantaisie vestimentaire étranglée – mille autres symptômes : de toutes parts on attendait à l’épanouissement de l’homme. On nivelait le monde à coups de grands mots sourds tels que social et collectif. Pourquoi ? Dans quel but ? Et comment finirait ce piétinement, cette conspiration des troupeaux ? »
3) Dieu vous garde des femmes, Denoël, 1955.
Ce recueil comprend 12 nouvelles :
Dieu vous garde des femmes, Les pigeons en compote, Le chasseur de rats, La neuvième symphonie, Le lièvre de Noël, Mademoiselle de Fondreuil, La fête en forêt, Les oiseaux maudits, La vieille dame et le hasard, Mouton, L’ascension de Mimi, La raquette du Viking.
Sa devise :
C’est celle du personnage principal de son roman Ce Monde Ancien, Gilles de Lointrain.
» Gilles se détourna. Il passa sans bruit devant la porte du salon et pénétra dans le capharnaüm qui lui servait de chambre. (…)
Des souliers poudreux, des chaussettes trouées, des chemises traînaient sur les meubles et des cravates s’enroulaient un peu partout comme des serpents endormis. Une machine à écrire, sur le bureau. Le mobilier était moderne, assez beau, mais encombré de livres, de cahiers et de papiers. Gilles interdisait qu’on fît le ménage dans son antre.
Il se fraya un chemin à travers les objets épars. A certains endroits cela montait vers le plafond. Le garçon, éprouvant le besoin de donner une forme à son indépendance, cultivait un prodigieux laisser aller, une totale inaptitude à l’ordre et à la classification. Le résultat était cette chambre envahie de limon littéraire qui se déposait de jour en jour. (…)
Le désordre ambiant l’apaisait. Le tempétueux désordre de sa chambre. (…)
Parmi toutes ces photographies, Gilles avait fixé au moyen de punaises deux papiers d’un blanc douteux. Sur l’un était écrit à l’encre rouge : >. Et sur l’autre : >. Il jugea comique la formule >. Il ne trouvait pas avec précision les motifs de ce ridicule mais il le percevait brusquement, dans une intuition. Ecartant du pied quelques livres, il arracha le papier et lut à haute voix : >. Il rougit, déchira la feuille en menue pièces qui neigèrent dans la chambre. Puis il avisa l’autre papier : > Il tira de sa poche un bout de crayon, et souligna deux fois. «
18 juin 2009 à 19 07 21 06216
Jean Cau était un écrivain et journaliste français, né à Bram (Aude) le 8 juillet 1925 et décédé à Paris le 18 juin 1993. Il repose au cimetiére La Conte de Carcassonne.
Il fut secrétaire de Jean-Paul Sartre ainsi que journaliste et grand reporter à l’Express, au Nouvel Observateur, au Figaro et à Paris-Match. Venu de l’extrême gauche, il s’est rapproché du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE, appelé aussi « Nouvelle Droite ») et a écrit des textes polémiques fustigeant le gauchisme, la décadence de l’Europe ou exaltant le combat et les traditions européennes. Il fut également parolier, notamment pour Régine.
18 juin 2009 à 19 07 23 06236
Oeuvres de Jean Cau
Le Fort intérieur, Gallimard, 1948
Maria-nègre, Gallimard, 1948 (ISBN 978-2070212842)
Le Coup de barre, Gallimard, 1950 (ISBN 9782070212859)
Le Tour d’un monde,Gallimard, 1952 (ISBN 978-2070212866)
Les Paroissiens, Gallimard, 1958 (ISBN 978-2070212873)
Mon village, Gallimard, 1958 (ISBN 978-2070212880)
Vie et mort d’un toro brave, Gallimard, 1961
La Pitié de Dieu, Gallimard, 1961 (ISBN 978-2070212903 et ISBN 978-2070365562) (Prix Goncourt)
Les Parachutistes – Le Maître du monde, Gallimard, 1963 (ISBN 978-2070212910)
Le Meurtre d’un enfant, Gallimard, 1965 (ISBN 978-2070212927)
Lettre ouverte aux têtes de chiens occidentaux, Albin Michel, 1967 (ISBN 978-2226045768)
Un testament de Staline, Grasset, 1967 (ISBN 978-0036186756)
Les Yeux crevés, Gallimard, 1968 (pièce de théâtre)
Le pape est mort, La Table Ronde, 1968 (ISBN 978-2710322184)
Le Spectre de l’amour, Gallimard, 1968 (ISBN 978-2070268856)
L’Agonie de la vieille, La Table Ronde, 1969 (ISBN 978-2710322061)
Tropicanas, de la dictature et de la revolution sous les tropiques, Gallimard, 1970 (ISBN 978-2070268870)
Les Entrailles du taureau, Gallimard, 1971 (ISBN 978-2070279951)
Le Temps des esclaves, La Table Ronde, 1971 (ISBN 978-2710316862)
Les Entrailles du taureau, Gallimard, 1971 (ISBN 978-2070279951)
Ma misogynie, Julliard, 1972
Les écuries de l’occident – traité de morale, La Table Ronde, 1973 (ISBN 978-2710312284)
La Grande Prostituée – Traité de morale II, La Table Ronde, 1974 (ISBN 978-2710323150)
Les Enfants, Gallimard, 1975 (ISBN 978-2070291663)
Pourquoi la France, La Table Ronde, 1975 (ISBN 978-2710315858)
Lettre ouverte à tout le monde, Albin Michel, 1976 (ISBN 978-2226003744)
Otages, Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070294336)
Une nuit à Saint-Germain des Près, Julliard, 1977 (ISBN 978-2260000709)
Discours de la décadence, Copernic, 1978 (ISBN 978-2859840150)
Une passion pour Che Guevara, Julliard, 1979 (ISBN 978-2260001393)
Nouvelles du paradis, Gallimard, 1980 (ISBN 978-2070299942)
La Conquête de Zanzibar, Gallimard, 1980 (ISBN 978-2070290376)
Le Grand Soleil, Julliard, 1981 (ISBN 978-2260002536)
La Barbe et la Rose, La Table Ronde, 1982 (ISBN 978-2710300915)
Une rose à la mer, La Table Ronde, 1983 (ISBN 978-2710301318)
Proust, le chat et moi, La Table Ronde, 1984 (ISBN 978-2710301905), rééd. 2009 (ISBN 9782710331094)
Croquis de mémoire, Julliard, 1985 (ISBN 978-2260004028, ISBN 978-2266016742 et ISBN 978-2710328896)
Mon lieutenant, Julliard, 1985 (ISBN 978-2260004202)
Sévillanes, Julliard, 1987 (ISBN 978-2260005087)
Les Culottes courtes, Le Pré-aux-Clercs, 1988 (ISBN 978-2714421265 et ISBN 978-2253056089)
La Grande Maison, Le Pré-aux-Clercs, 1988 (ISBN 978-2714422927)
Le Choc de 1940, Fixot, 1990 (ISBN 978-2876450929)
Les Oreilles et la Queue, Gallimard, 1990 (ISBN 978-2070719860)
Le Roman de Carmen, Editions de Fallois, 1990 (ISBN 978-2877060875)
La Rumeur de Mazamet, Le Pré aux Clers, 1991 (ISBN 978-2714426666)
L’Ivresse des intellectuels : Pastis, Whisky et Marxisme, Plon, 1992 (ISBN 978-2259025171)
L’Innocent, Flammarion, 1992 (ISBN 978-2080644565)
Nimeno II, torero de France, Marval, 1992 (ISBN 978-2862341064)
La Folie corrida, Gallimard, 1992 (ISBN 978-2070726660)
Au fil du lait, Educagri, 1993 (ISBN 978-2866211769)
Contre-attaques : éloge incongrue du lourd, Labyrinthe, 1993 (ISBN 978-2869800113)
L’Orgueil des mots, Filipacchi, 1995 (ISBN 978-2850183744) (posthume)
Fernando Botero, la corrida, La Bibliothèque des Arts, 2001 (ISBN 978-2850471599) (posthume)
Monsieur de Quichotte, Le Rocher, 2005 (ISBN 978-2268051666) (posthume ou réédition ?)
Le Candidat (préface d’Alain Delon), Xénia, 2007 (ISBN 978-2888920496) (posthume)