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Dernières épîtres”, de Hamza Zirem

12 juin 2009

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    “Essai sur Térence, suivi de Dernières épîtres”, de Hamza Zirem

l C’est pour faire connaître une des grandes figures de la littérature numide, que Zirem Hamza a écrit son tout dernier livre “Essai sur Térence suivi de Dernières épîtres”, publié récemment aux Editions minuscules. Cette œuvre modeste, renfermée dans 32 pages, comporte outre la dissertation sur Térence, un texte épistolaire à visée philosophique.


“Naissance de la littérature latine”, “Le déracinement salutaire”, “Elégance dramatique des Adelphes”, “Modèle d’inspiration littéraire”, tels sont les quatre chapitres dans lesquels se déroule la vie et l’œuvre de Térence. Cet essai tente de nous montrer l’importance de cet auteur numide dans l’évolution littéraire. Il fut notamment un modèle pour les écrivains classiques français, surtout pour Molière. Esclave affranchi, Térence en latin Publius Térentius Afer, est né à Carthage en l’an 190 avant J. C., et meurt en 159 avant J. C.
Il est auteur de six comédies (L’Andrienne, l’Eunuque, l’Hécyre, l’Heautontimoroumenos, Phormion, les Adelphes). Toutes imitées des œuvres grecques alors prédominantes, ces pièces se basent surtout sur l’analyse psychologique des personnages, sur le but de faire rire et bien sûr d’amour.
La deuxième partie du livre est un mélange de prose et de poésie, où l’auteur se laisse aller dans un élan frénétique d’écriture, à des confidences, il nous dit de façon sibylline son “mal-être”, “ses raisons de la colère”, sa solitude, “son pessimisme exacerbé”, mais aussi ses espoirs pour un monde meilleur, où les guerres seront abolies et où ne régneront que la justice sociale et la raison humaine. S’il dit, là : “Mes idées bifurquent […] à force d’imaginer  les choses de la vie, j’ai fini par les vomir en multiples blasphèmes”, ailleurs, il se ressaisit, dans ses ultimes vers  : “Je brave ostensiblement les principes tarés”.
Zirem Hamza qui a déjà à son actif deux recueils de poésie “Le temps asséché (1997)”, “Le gouvernail tombe à la mer (1999)”,vient de montrer avec son nouveau livre que le chemin de la poésie mène toujours vers la prose.

Boualem B.

La Dépêche de Kabylie

N° :1072     Date  2005-12-13

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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