- Bibliothèque nationale
Premier Colloque sur l’art contemporain arabe
Dans le cadre “d’Alger, capitale de la culture arabe”, l’Union des arts culturels organise, du 2 au 4 décembre 2007 le premier Colloque sur l’art Contemporain arabe sur le thème : « L’art contemporain Arabe, spécificités et universalité ». Le colloque se tiendra à la Bibliothèque nationale dans le cadre des festivités frénétiquement successives à l’approche de la fin d’Alger, capitale.
L’art contemporain arabe, sujet aussi intéressant que riche, occupant un large territoire au sein du royaume des arts, affectant aussi bien la peinture que la littérature, la musique que la philosophie, est, théoriquement, susceptible d’allumer un riche débat et une pluralité de tendances, de visions et d’opinions.
Le colloque est censé attirer toute l’attention des intéressés et même de la population vu qu’il s’inscrit dans une chronologie assez intéressante; il s’agit bien entendu de l’inauguration du MAMA, Le Musée des arts modernes d’Alger. Ce colloque sera donc capable de jeter un faisceau de lumière sur cette nouvelle présence artistique au cœur d’Alger.
Le public algérien aura donc une chance de découvrir, par le biais de ce colloque, la valeur, les spécificités et l’universalité de l’art contemporain. Un art, malheureusement, presque ignoré par la majorité du peuple algérien, dédaigné même par certaines sphères intellectuelles et artistiques et quasiment banni de ce qui pourrait passer pour la culture nationale algérienne.
Le colloque permettra à beaucoup d’entre nous de découvrir ce qu’est l’art contemporain, l’intérêt qu’il présente pour le débat et le développement de l’art dans les pays arabes et, surtout, la valeur esthétique, morale et progressiste qu’il engendre dans le domaine des arts. Rappelons que ce colloque s’inscrit dans le programme riche et diversifié de la Bibliothèque nationale. Institution culturelle qui a fait ses preuves pendant la manifestation “d’Alger, capitale de la culture arabe” et qui, oserait-on le souligner, a joué un rôle important pour que cette même manifestation acquière une dimension plutôt culturelle que folklorique.
Sarah Haidar
http://www.depechedekabylie.com/popread.php?id=48682&ed=1673
16 août 2009 à 16 04 34 08348
On se rendra compte un jour de la place essentielle que l’écrivaine arabe doit occuper dans le monde de la pensée, par cette capacité qu’elle a de faire avancer les choses, mieux que tout autre.
Latifa