« Ce que le jour doit à la nuit » : le nouveau livre de Yasmina Khadra sort le 21 août
Le matin du 18 Aout, 2008
Après le succès des Hirondelles de Kaboul (2002), de L’attentat (2005) et des Sirènes de Bagdad (2006), l’écrivain algérien revient à ses racines. Il quitte le Moyen-Orient pour l’Algérie et retrace la période de révolte fratricide dans une fresque romanesque de 1930 à nos jours.
Younes, neuf ans, est confié à son oncle par son père ruiné. Avec ses yeux bleus et son physique, l’enfant rebaptisé Jonas parvient à s’intégrer à la communauté pied-noir d’une petite ville de l’Oranais où vit son oncle. Mais, la guerre d’indépendance, aggravée par son histoire d’amour avec Emilie, va bousculer les relations avec ses amis. Déchiré entre son amour pour la jeune fille, son amitié pour les pieds-noirs, mais aussi les valeurs de sa famille et les coutumes de son peuple, il symbolise l’identité algérienne.
Dans ce roman, Khadra analyse la nature de la double culture franco-algérienne avec son talent de conteur.
Né en 1955 d’un père infirmier et d’une mère nomade, Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohamed Moulessehoul, entame une carrière militaire qui durera jusqu’en 2000. Il publie plusieurs ouvrages dont Morituri (1997), L’automne des chimères (1998), et A quoi rêvent les loups (1999). Titulaire du grade de commandant, il prend alors sa retraite en 2000 pour se consacrer à sa passion : la littérature.
En 2001, après un court séjour au Mexique avec sa femme et ses enfants il décide de s’installer à Aix-en-Provence. C’est à cette date qu’il publie L’écrivain et qu’il révèle son identité à la presse et à son public. Mohamed Moulessehoul choisit de prendre un pseudonyme pour rompre avec une potentielle censure militaire. Yasmina Khadra sont les deux prénoms de sa femme.
Internationalement reconnue, son œuvre est aujourd’hui traduite dans 34 pays, il a obtenu le Prix des Libraires 2006 avec L’Attentat. Au fil des pages, des livres et des prix le style Khadra a su s’imposer : lyrisme, métaphores, poésie, musicalité des mots et intrigues en tous genres. Son roman Les hirondelles de Kaboul a été consacré Meilleur roman de l’année aux États-Unis.
Ses romans intéressent également le cinéma. L’Attentat est en effet en cours d’adaptation à Hollywood tandis que Les Hirondelles de Kaboul devrait être réalisé en France.
Source : Relaxnews
Yasmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit
Sortie : le 21 août
Roman – Editions Julliard
11 juin 2009 à 17 05 35 06356
L’histoire est bouleversante, sauf que(je pense) c’est du déjà vu. En effet, le texte de yasmina Khadra ressemble étrangement au roman LES AMANTS DE PADOVANI écrit en 2003 par l’écrivain algérien lui aussi: Youcef Dris, et paru aux éditions Dalimen. Certes, ce roman n’a pas eu la médiatisation qu’il mérite, car distribué en Algérie, contrairement à celui de Khadra qui a bénéficié d’une grande publicité. Quelle étrange similitude entre les deux romans, tant sur le contenue que sur les héros (exemple Amélie pour Dris et Emilie pour Khadra, et cet amour impossible entre un autochtone et une européenne d’Algérie). Alors à qui revient le mérite de ce livre? Aux lecteurs de juger. mais je pense que YK c’est inspirer de ce roman a vous de juger lien pour voir le roman: http://home.nordnet.fr/~jcpillon/piedgris/Auteurs/Dris.html
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
7 juillet 2009 à 20 08 18 07187
En effet, c’est édifiant. Etranges similitudes des textes. Puisque Youcef Dris a écrit son roman en 2003 et Khadra en 2008, il est facile de deviner l’imposteur. Mais ce grand écrivain n’avait pas besion de plagier un jeune écrivain, et lui mettre ainsi de l’ombre, lui qui est en pleine lumière grace aux deniers de l’Etat Algérien. C’est un comble, surtout que concernant son roman, Khadra ne cesse de quémander un prix littéraire, c’est honteux de pleurnicher dans les jupons de ses anciens maîtres quand on a son talent. J’ai envie de vomir.