« Au jeu d’échec, les fous sont les plus près du roi. »
Signification
Il y a de la folie chez les individus qui cherchent à côtoyer les gens de pouvoir. Ce proverbe traite avec ironie les ambitieux de la cour qui jouent un jeu dangereux en voulant s’attirer les faveurs des puissants.
Origine
Il y a de la folie chez les individus qui cherchent à côtoyer les gens de pouvoir. Ce proverbe traite avec ironie les ambitieux de la cour qui jouent un jeu dangereux en voulant s’attirer les faveurs des puissants.
D’autres proverbes
1. Il ne faut pas tant regarder ce que l’on mange, Qu’avec qui l’on mange.
2. Mieux vaut vivre enchaîné près de celui que l’on aime, que libre au milieu des jardins près de celui que l’on hait.
À propos de Artisan de l'ombre
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie
Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme .
Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali …
Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère .
Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains.
Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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17 mai 2009 à 14 02 02 05025
Le jeu d’échecs expliqué.
http://www.normandlamoureux.com/echecs/
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
17 mai 2009 à 14 02 05 05055
Les origines du jeu d’échecs sont inconnues. Aucun matériel ne permet de trancher cette question (au demeurant importante).
Mais si son origine est difficile à fixer avec précisions et de nombreux pays (Egypte, Grèce, Chine…) en revendiquent l’invention car il existe plusieurs jeux anciens plus ou moins voisins de l’actuel jeu d’échec.
La plupart des historiens sont maintenant d’accord pour dire que les pièces les plus anciennes datent environ de l’an 600. C’est également la date approximative des premières références au jeu d’échecs dans la littérature.
Mais beaucoup pensent que ce jeu est apparu dans la vallée de l’Indus, en Inde au VI éme siècle.
http://membres.lycos.fr/lpsc/historique.htm#Sissa
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17 mai 2009 à 14 02 33 05335
En relisant l’historique du jeu d’échec ,un flash m’est revenu en me rappelant de mon professeur d’activités culturelles Monsieur Aisset qui a quitté Sougueur tel cette tour qui
prolonge son déplacement de plus d’une Case .j’étais en classe de cinquième et je retiendrai à tout jamais cette séance pluridisciplinaire( jeu d’échec) chapeautant l’histoire ,les travaux manuels ,les mathématiques ….
Il nous expliqua qu’un hindou se présenta au roi pour lui proposer ce jeu .En récompense ,le créateur du jeu proposa un grain de blé pour la première case ,le double dans la deuxième , le double de ce qu’il a eu à la troisième case et ainsi de suite Le roi n’en revenait pas à la 64ème case ,puisque il y avait des tonnes de blé à offrir à son invité .
Notre professeur nous invita ensuite à dessiner les pièces du jeu et à les peindre puis les assembler sur des bouchons de limonade en se servant du plâtre .
Une fois finie notre génie de professeur nous initia au jeu .
et en prolongement ,il nous incita à lire le journal pour connaitre d’autre coups autre que ce coup de berger qu’on maitrisait déjà.
je reviens à mon professeur ,pour lui dire que le monde recule ,vos notions didactiques sont aujourd’hui d’actualité ,alors revient vers nous pour vous revoir et vous remercier. La tour revient au galop en reculant même pour protéger la reine et éviter l’échec.
j’aimerais aussi savoir d’où vous avez épuisé vos informations,pour compléter cette recherche .
benmesbah Rabah
Année scolaire 1973-1974
17 mai 2009 à 15 03 39 05395
Histoire
De nombreux mythes et théories existent sur l’origine du jeu.
Les légendes [modifier]
Le mythe du brahmane Sissa [modifier]
La légende la plus célèbre sur l’origine du jeu d’échecs[2] raconte l’histoire du roi Belkib (Indes, 3 000 ans avant notre ère) qui cherchait à tout prix à tromper son ennui. Il promit donc une récompense exceptionnelle à qui lui proposerait une distraction qui le satisferait. Lorsque le sage Sissa, fils du Brahmine Dahir, lui présenta le jeu d’échecs, le souverain, enthousiaste, demanda à Sissa ce que celui-ci souhaitait en échange de ce cadeau extraordinaire. Humblement, Sissa demanda au prince de déposer un grain de blé sur la première case, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, et ainsi de suite pour remplir l’échiquier en doublant la quantité de grain à chaque case. Le prince accorda immédiatement cette récompense en apparence modeste, mais son conseiller lui expliqua qu’il venait de signer la mort du royaume car les récoltes de l’année ne suffiraient à s’acquitter du prix du jeu. En effet, sur la dernière case de l’échiquier, il faudrait déposer 263 graines, soit plus de neuf milliards de milliards de grains (9 223 372 036 854 775 808 grains précisément), et y ajouter le total des grains déposés sur les cases précédentes, ce qui fait un total de 18 446 744 073 709 551 615 grains (la formule de calcul est alors 264-1) !
Des variantes de cette légende existent, l’une suggérant que le roi accepta à condition que le sage compte les graines lui-même, une autre affirmant que Sissa eut la tête tranchée pour une telle effronterie. Certaines versions disent que Sissa ne demanda rien en échange mais que le roi insistant, Sissa aurait alors décidé de se moquer du roi en lui demandant une récompense qu’il ne pourrait donner.
Légende grecque
Une autre légende place l’invention du jeu durant la Guerre de Troie. Palamède, l’un des héros grecs, aurait inventé le jeu pour remonter le moral des troupes durant le siège de la cité en 1240 av. J.-C. C’est cette origine qui amènera les créateurs de la première revue échiquéenne à la nommer Le Palamède. D’autres personnages du monde grec se sont vu attribuer l’invention des échecs. On peut notamment citer Pyrrhus.
Origines orientales
Les recherches historiques [modifier]
Jeune Persan jouant aux échecs avec deux prétendants Illustration tirée de Haft Awrang de Jami, dans l’histoire « Un père avise son fils à propos de l’amour »
L’origine du jeu d’échecs reste un sujet controversé. En effet, comme l’écrit Richard Eales dans son livre CHESS, The history of a game[3], la recherche des origines des échecs est similaire à la recherche du « chaînon manquant » dans l’évolution humaine.
On admet généralement que son ancêtre connu le plus ancien est un jeu indien, le chaturanga. Ses traces les plus anciennes se repèrent entre les Ve et VIIe siècles. Deux passages de textes sanskrits mentionnent l’existence du jeu sans donner d’autres informations. Il s’agit de Vasavadatta, écrit en 600 par Subandhu qui évoque des joueurs d’échecs, et surtout de Harshascharita, écrit par Bana vers 625. Il décrit The Aashtapada, un échiquier de 64 cases, qui permet d’apprendre le Chaturanga, le nom sanskrit des échecs.
Ces livres, suivis de deux autres ouvrages écrits en 850 par Ratnakara et Rudrata à la fin du neuvième siècle, permettent de prendre connaissance des pièces du jeu qui sont celles d’une armée : fantassins, cavaliers, chars et éléphants.
L’origine de ces deux auteurs dans le Nord-Ouest du royaume du Cachemire suggère ainsi une transmission possible du bassin central du Gange vers l’Iran (la Perse).
Au-delà de cette époque, certains supposent que le jeu a évolué à partir de jeux de parcours indiens, d’autres lui prêtent un ancêtre extérieur en Chine ou en Asie centrale. Un jeu très similaire est également connu dans la civilisation chinoise, le xiangqi, dont les plus anciennes traces remonteraient à 569 (il y a une controverse à ce sujet) ; son existence est attestée en 800[4].
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89checs
17 mai 2009 à 15 03 41 05415
Diffusion
Le jeu se propage jusqu’en Perse aux alentours de l’an 600 où il devient le chatrang. Lorsque les Arabes envahissent la Perse, ils l’adoptent sous le nom de shatranj. Les échecs connaissent alors un développement remarquable. C’est au cours des IXe et Xe siècles qu’apparaissent les premiers champions et les premiers traités. Les pièces sont stylisées en raison de l’interdiction de représenter des êtres animés[5]. On retrouve alors :
* le roi (Shâh, c’est lui qui donne son nom au jeu) se déplace d’un pas dans toutes les directions ;
* le conseiller (Farzin ou Vizir) dont le mouvement est limité à une seule case en diagonale ;
* l’éléphant (Fil) avec un déplacement correspondant à un saut de deux cases en diagonale ;
* le cheval (Faras), identique au cavalier moderne ;
* le (Roukh), semblable à la tour actuelle.
* le soldat (Baidaq), l’équivalent du pion, mais dépourvu du double pas initial.
(Le Roukh était parfois représenté comme un char de guerre. Les Arabes y voyaient un général commandant l’armée. Mais son sens littéral reste obscur. Il semble que pour les Arabes, ce mot n’avait pas d’autre sens que celui de désigner cette pièce au Shatranj, un peu comme le mot rook pour les anglophones aujourd’hui).
déplacements primitifs
Une théorie séduisante donne l’origine du mode de déplacement des pièces par les différents trajets élémentaires possibles depuis le centre d’un espace de cinq cases sur cinq cases. Elle donne une bonne explication au déplacement curieux du cavalier (F = Faras), le seul à être resté « sauteur » et à courte portée. Elle laisse au roi (S = Shâh) un déplacement plus limité (quatre cases) mais qui correspond au déplacement de son homologue chinois (le « général »). Elle donne aussi à penser que le char (R = Roukh) devait être primitivement une pièce « courte » comme les autres et se déplaçait par saut de deux cases selon colonne ou rangée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89checs
17 mai 2009 à 15 03 42 05425
Les règles du jeu
Icône de détail Article détaillé : Règles du jeu d’échecs.
Image:chess_zhor_26.png
Image:chess_zver_26.png
a8 b8 c8 d8 e8 f8 g8 h8
a7 b7 c7 d7 e7 f7 g7 h7
a6 b6 c6 d6 e6 f6 g6 h6
a5 b5 c5 d5 e5 f5 g5 h5
a4 b4 c4 d4 e4 f4 g4 h4
a3 b3 c3 d3 e3 f3 g3 h3
a2 b2 c2 d2 e2 f2 g2 h2
a1 b1 c1 d1 e1 f1 g1 h1
Image:chess_zver_26.png
Image:chess_zhor_26.png
Position initiale des pièces du jeu d’échecs
Pièces
du jeu
d’échecs
Roi
Dame
Fou
Cavalier
Tour
Pion
À partir de la position de départ, les joueurs jouent alternativement ; les Blancs jouant le premier coup. Chaque pièce du jeu dispose d’un mode de déplacement spécifique, les pièces qui se trouvent sur une case accessible en un coup peuvent être prises : elles sont dites menacées. Une pièce qui est prise est retirée du jeu, la pièce qui a effectué la prise prend alors sa place sur l’échiquier.
Lorsque le roi est menacé de prise, on dit qu’il est en échec. Si ce camp ne peut éviter la prise (par déplacement du roi sur une case non menacée, par interposition d’une pièce ou par capture de la pièce donnant échec), il y a échec et mat et la partie se termine, le joueur possédant ce roi a perdu.
Il existe de plus des règles spéciales de déplacement (roque, prise en passant) et la possibilité pour un pion atteignant le bord opposé de l’échiquier de se transformer en une autre pièce (promotion).
Le terme échec et mat vient de Säh Mäta (en persan, soit sheykh mat شيخ مات en arabe), « le roi est mort », pour indiquer la défaite du roi (incidemment, le mot sheykh est à l’origine du mot échec et du nom des échecs dans un grand nombre de langues et le mot Säh est à l’origine du mot shah).