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Un 8 mai

9 mai 2009

EPHEMERIDES

1886 : Le pharmacien et chimiste américain John Styth Pemberton d’Atlanta, en Georgie, invente la boisson gazeuse la plus célèbre de tous les temps, le Coca-Cola.

1898 : Création de la Ligue des Droits de l’Homme.

1903 : Naissance de Fernandel, acteur français ( 26 février 1971).

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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2 Réponses à “Un 8 mai”

  1. Webmaster Dit :

    Biographie [modifier]

    Né le 8 mai 1903 au 73 Boulevard Chave à Marseille, il est le fils de Monsieur et Madame Contandin qui lui attribuent les prénoms de Fernand, Joseph et Désiré.[1] Son père Denis, comptable, mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined et sa mère, comédienne amateur également, décèlent rapidement le talent du jeune Fernand. Celui-ci suit souvent son père lors des concert qu’il organise dans la banlieue marseillaise en montant sur les planches. C’est à l’occasion d’un concours pour petits chanteurs amateurs qu’il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille. Fernandel a deux frères : Auguste Marcel Sined, son ainé de 6 ans (avec lequel il sera un temps Fernand Sined), et Francis Fransined (plus jeune que lui de 11 ans) ainsi qu’une sœur. A sa sortie de l’école, le père de Fernand le place à la Banque Nationale du Crédit de laquelle il ne tarde pas de se faire congédier.

    Il enchaîne ensuite les petits boulots alimentaires, portant des sacs de sucre dans le ports de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans de nombreuses banques, mais sa passion du Tour de Chant et son caractère volage ne lui permettent pas de s’établir une situation stable.

    En parallèle, il monte sur scène comme chanteur, comique troupier dans les cafés-concerts, où il surprend par son profil chevalin.

    Andrex, comédien et ami de l’acteur, raconte à son propos[2] : « Fernandel, qui n’était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d’un grand coup de pied au derrière ; il s’empêtra dans son sabre et s’étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n’eut plus jamais peur d’affronter le public. »

    Le 4 avril 1925, à 22 ans, il épouse Henriette Manse, la sœur d’un inséparable copain. Ils auront trois enfants, Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935. C’est à la mère d’Henriette que fût attribué l’origine du pseudonyme de Fernadelle, celle-ci, voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille dit en rigolant : « Fernand d’Elle… », phrase qui fit immédiatement mouche et fût adopté par le comédien pour en faire son nom de scène.[1] Ainsi nait Fernandel.

    Il effectue son service militaire un mois après son mariage. Affecté au 93em régiment d’artillerie de montagne de Grenoble, il devait être libéré le 12 mai 1926, mais un capitaine lui accorda une permission libérale le 29 avril.

    Le 7 décembre 1928 il monte sur Paris et se produit au Bobino, devant le succès de cette prestation il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le Circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le 10 mars 1930, il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à L’Elysée-Palace de Vichy. C’est là qu’Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du Théâtre Mogador le vit et l’engagea pour la revue d’hiver du Concert Mayol, revue déshabillée à succès de l’époque où se réunissait le Tout-Paris. Fernandel et Parisys y tenaient trois sketchs intercalés entre les tours de danse. C’est alors qu’il se trouve dans la salle que le réalisateur Marc Allégret est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel, il décide alors de lui offrir le rôle d’un groom dans son film : Le Blanc et le Noir.[1] 1930 marque donc le début de la cinématographique de Fernandel.

    La même année, Jean Renoir lui confie un rôle plus important dans On purge bébé, d’après une pièce de Georges Feydeau. Toujours en 1931, il est la vedette du film de Bernard Deschamps Le Rosier de Madame Husson, où il interprète un rôle qu’on lui confiera souvent par la suite : celui d’un jeune homme niais, en l’occurrence ici un puceau qui perd sa virginité dans un lieu de plaisir.

    Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque Un de la légion et François Ier (1936), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), la Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).

    Les succès cinématographiques n’empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en films par la suite. Certaines des chansons qui y sont interprétées deviennent des « tubes », comme Ignace ou Simplet, ou encore Félicie aussi.

    Dans l’ensemble, les films des années 1940 ne laisseront pas un souvenir inoubliable. Mais tout change dans les années 1950, grâce à Julien Duvivier et à la série des Don Camillo, tirés de l’œuvre de Giovanni Guareschi, où un curé et un maire communiste se livrent une lutte d’influence dans un petit village en Italie : Le Petit monde de Don Camillo (1951), Le Retour de Don Camillo (1953). Puis, avec d’autres réalisateurs, la Grande bagarre de Don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les contestataires, film qu’il commence à tourner en 1970 mais qu’il ne pourra achever, victime d’un cancer du poumon qui allait l’emporter.

    Parmi les autres grands succès cinématographiques de Fernandel, notons aussi L’auberge rouge (1951), Ali Baba et les quarante voleurs (1954), film de Jacques Becker et surtout La Vache et le Prisonnier, film d’Henri Verneuil tourné en 1959.

    Il a fondé avec Jean Gabin la société de production Gafer en 1963.

    Fernandel a également remporté un grand succès avec les enregistrements des textes des Lettres de mon moulin d’Alphonse Daudet comme La Chèvre de Monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de Maître Cornille ou Le sous-préfet aux champs.

    Fernandel a aussi été réalisateur de films : Simplet en 1942, Adrien en 1943 et Adhémar ou le jouet de la fatalité en 1951

    En terminant, Sacha Guitry lui a rendu cet hommage peu commun : « Moi, on m’admire ; vous, on vous aime. » Quant à sa popularité sous la soutane de Don Camillo, un jour qu’il était à Rome, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape » !…

    Contrairement à ce qu’on peut lire quelquefois, Fernandel n’a pas souffert d’acromégalie.[réf. nécessaire] Atteint d’un cancer, il meurt d’un arrêt cardiaque, à cause de la fatigue imposée par la maladie et les traitements, le 26 février 1971 dans son lit, dans son appartement de l’avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  2. Webmaster Dit :

    Citation de Fernandel
    Le pastis, c’est comme les seins. Un c’est pas assez et trois c’est trop.

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