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Mes amis(es) blogueurs

18 avril 2009

MAARADJI KHALED

 

 

Samedi 18 Avril 2009 1h20mn 33s

Auteur     : maaradji khaled (IP: 41.201.104.154 , 41.201.104.154)
E-mail     : maaradjik@yahoo.fr

Bonsoir Mes amis(es) blogueurs,mes chers(es)lectrices et lecteurs.
Excusez-moi si je vous ai empoisonnés par cette batterie de poèmes dont je n’ai aucune prétention qu’ils sont des chefs-d’oeuvre .
Mais je me suis senti endetté envers notre jardin.
Je paie mes dettes pour enrichir le Blog.
Je vous adore tous!

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http://nadorculture.unblog.fr/courrier/#comments

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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Une réponse à “Mes amis(es) blogueurs”

  1. aliamostefaoui Dit :

    Vous etes la touche artistique de ce blogue.

    Quand un poète vous semble obscur, cherchez bien, et ne cherchez pas loin. Il n’y a d’obscur que la merveilleuse rencontre du corps et de l’idée, qui opère la résurrection du langage.

    Alain (1868-1951), Propos de littérature

    Le pin des Landes

    On ne voit en passant par les Landes désertes,
    Vrai Sahara français, poudré de sable blanc,
    Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes
    D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc,

    Car, pour lui dérober ses larmes de résine,
    L’homme, avare bourreau de la création,
    Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine,
    Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon !

    Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte,
    Le pin verse son baume et sa sève qui bout,
    Et se tient toujours droit sur le bord de la route,
    Comme un soldat blessé qui veut mourir debout.

    Le poète est ainsi dans les Landes du monde ;
    Lorsqu’il est sans blessure, il garde son trésor.
    Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde
    Pour épancher ses vers, divines larmes d’or !
    Théophile Gautier (1811-1872), España [Proposé par Jean-Luc]