5 avril 2009
À propos de Artisan de l'ombre
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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J'ai couvé un oeuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent.
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8 avril 2009 à 1 01 35 04354
Texte :6
« LES ANEFIENS »
Gais, joyeux et volontaires
En toute hâte, ils se dépêchèrent
Nouant baluchons et oubliant les leurs
Occupant Draria et s’accaparant les cœurs
Mille montures, pour y arriver, ils enfourchèrent
Eh lycée, il ne t’en restera aucune rancœur
HAMADENE Abdelhamid
8 avril 2009 à 1 01 36 04364
Texte :7
Gêne homme ???
Non !
Je suis un génome.
Un drôle de petit bonhomme.
Nulle crainte, nulle peur
Même si je viens d’ailleurs.
Ma mission, vous dîtes ?
Changer, modifier et même transformer.
Mais aucun dommage pour l’humanité,
La chaîne alimentaire nullement menacée.
Toute infime particule est soigneusement manipulée,
Tout organisme intelligemment croisé.
Que
Si leurs caractères sont compatibles.
Tel un navire en temps de guerre,
Tel un panneau solaire,
Et clic ! et clac !
Je suis capteur.
Ce que je désire ?
Une planète saine,
Une nature pérenne.
Je suis inscrit dans une vision futuriste
Sans être ennemi des écologistes.
Si clair obscur s’oppose à clair de lune,
Clair de terre rime avec planétaire,
Solidaires, humanitaire, égalitaires
Résonnent et montent au firmament.
FRIOUI D
8 avril 2009 à 1 01 37 04374
Texte : 8
Ailleurs, il fait bon capteur de la vie tellement belle. Sur clair de terre en clic. Mais hélas, notre attitude n’est pas compatible.
La chose désirer peut attendre génome vis-à-vis du mot pérenne qui put transformer la perfection et l’espoir de la vision pour dire demain.
Tamacha
8 avril 2009 à 1 01 42 04424
Texte : 10
L’histoire d’une rencontre….avec une autre langue
Comme à l’accoutumé, je m’attablais tous les soirs devant mon ordinateur pour changer un peu d’air, j’aimais beaucoup jouer au scrabble, un désir brûlant, juste pour se mesurer avec les autres joueurs, par la même occasion les connaitre, et s’échanger les idées le tout à l’aide d’un clic.
J’avais beaucoup de mal à entamer une discussion sur un sujet donné, d’ailleurs on se limitait juste au jeu, beaucoup de palabres, mais qui au fond n’avaient ni goûts, ni sens à mon avis.
Un soir, le hasard a voulu que je rencontre Housna virtuellement et grâce à l’internet, on a entamé une partie, puis une deuxième puis une autre et ainsi de suite…
J’ai appris qu’elle habitait à Casablanca, au Maroc.
Au départ, on parlait arabe, on essayait de transformer, de traduire les mots ; mais nous nous sommes rendus compte que certaines expressions étaient incompréhensibles soit de mon coté, soit du sien, alors nous optâmes pour le français, langue commune aux deux pays, et là nous nous félicitâmes du résultat, dans ce monde d’incompréhension cette langue telle un clair de terre nous a permis d’illuminer nos idées.
Housna au départ n’aimait pas parler ou parlait peu, mais elle annonçait une phrase, un mot, une expression tel un capteur pour garder le fil de la discussion.
Je n’ai pas vu son visage, mais à travers ses paroles j’avais compris qu’il était rayonnant, serein mais un peu triste.
Un soir, après plusieurs discussions autour de divers sujets, elle me posa une question : « et toi qu’en penses tu de l’avenir, la haine, la paix,… » Et là j’ai vite compris que nos idées étaient compatibles dans tous les domaines et notre vision des choses était unique.
Même si nos génomes diffèrent, nous ne faisions qu’un, nous étions obligés pour la circonstance de parler une autre langue, comme quoi il suffit parfois d’oser pour se faire comprendre.
Et depuis notre amitié devint pérenne….grâce à une autre langue.
Larbi
8 avril 2009 à 1 01 46 04464
Texte : 13
C’est pour toi enfant de demain.
A présent que tu es entré à l’école et que tu as commencé à étudier, ta vision des choses de la vie sera plus réaliste et plus pertinente. Cela te permettra de distinguer le bien et le mal et entre la connaissance et l’ignorance. Ainsi tes action seront compatibles avec l’environnement, au sens le plus large, dans lequel tu évolueras ; Tu seras appelé à agir et à transformer nombre d’idées préconçues et erronées comme celle arguant que l’ont naît criminel parce que l’on porte en soi le génome de la criminalité ou de la délinquance.
Ailleurs que dans nos contrées, en voie de développement, la science a permis aux hommes d’atteindre d’autres planètes, à bord d’engins spatiaux produisant leur propre énergie grâce à des capteurs solaires et autres et d’admirer le clair de terre après avoir posé le pied et marché sur la lune.
Il ne fait pas l’ombre d’un doute que tu seras amené à désirer vivre dans un pays où le labeur sera le maître mot à même d’assurer une auto suffisance alimentaire et en biens de consommation, grâce à des politiques pérennes tant agricole qu’industrielle et de ne plus dépendre de ces importateurs d’un nouveau genre qui d’un clic sur une souris d’ordinateur commande à l’étranger et nous inonde de bimbeloterie de bazar et moult autres articles à bas prix et de mauvaise qualité.
BERREFAS Z
8 avril 2009 à 1 01 47 04474
Texte :14
Hommage à…
Mon père, on l’appelait… Hadj Ghaffor
Très tôt, il a été happé par la mort.
Accidentellement, il repose ailleurs…
Je ne m’attendais pas à ce que, si tôt, il meurt.
Il était le prince de la « la petite reine »
On aurait désiré que son règne fût pérenne.
D’un clic, il se transformait en capteur de champions
Que de médailles distribuées grâce à sa vision.
C’était le signe avec lequel j’étais la plus compatible
De par mon caractère, son génome était visible.
En attendant de te retrouver, oh ! Mon père
Je t’envoie une pensée par un clair de terre !
TAHARI Baya
NB
1 – Accidentellement : il a été asphyxié par une fuite de gaz.
2 – « La petite reine » : le cyclisme.
3 – le signe astrologique : nous sommes natifs du même mois.
8 avril 2009 à 1 01 49 04494
Texte :16
La femme à deux mains
Inutile d’aller chercher ailleurs la femme tant chérie et aimée….
Mais au fait, c’est quoi la femme de demain ?
Beaucoup de questions et peut être moins de réponses.
C’est celle qui vous tend les deux mains quand vous rentrez, après une dure journée de labeur pour vous accueillir avec un geste presque imperceptible qu’elle seule connait…
A travers les jours sombres et pénibles c’est elle le clair de terre qui illumine tes pensées, elle a l’art de transformer tes peines en joies.
Le soir, comme un capteur, elle détecte toutes tes douleurs physiques ou morales et d’un clic, comme par magie tout s’efface, et s’estompe dès qu’elle pose sa main si douce et si agréable sur votre corps, lorsqu’elle vous embrasse, d’un baiser pérenne même s’il dure que quelques secondes, il vous fait voir le monde sous un autre angle, avec une autre vision celle de l’amour que porte une femme à celui qu’elle aime et désire.
Doit elle dire « je veux te désirer » ou bien laisse t-elle le soin au silence complice entre nous le faire dévoiler et tout réside là…
Mais quand elle ne fait plus confiance alors à quoi bon de chercher ailleurs, nos longueurs d’ondes ne sont plus compatibles et nos génomes d’ailleurs aussi.
Ceci est écrit : « l’espoir est comme un phare, il n’arrête pas la tourmente mais il guide toujours dans la bonne direction ».
Anonyme
8 avril 2009 à 1 01 50 04504
Texte :18
Demain
S’agit-il d’une nouvelle vision à une langue d’appoint, de toucher aux chromosomes linguistiques et transformer les génomes du langage. Ou par des stimuli, évoquer le désir de rapprochement des frontières linguistiques.
Point de langue si les idéologies politiques ne soient pas compatibles d’abord.
Point de langue si nos enseignants ne se mettent pas autour de la table d’une approche éclectique et trouvent la solution pérenne transmise par des capteurs de savoir.
Ici ou ailleurs c’est le petit clic de la souris qui fait blanchir le chat de Baudelaire et rayonner le clair de terre sur cette caractéristique humaine qui est la langue.
Enfin, point de langue ou langue d’appoint c’est un point de vue.
FATMI Brahim
8 avril 2009 à 1 01 52 04524
Texte :20
La paix pour demain
Désirez la paix n’est pas facile.
Transformez la violence en un clair de terre paisible.
Clic des doigts du magicien capteur de vision éphémère.
Cherchez ailleurs une vie meilleure.
Peut-on accuser le génome qui détruit une paix pérenne ?
BELARIBI F
8 avril 2009 à 1 01 53 04534
Texte : 21
Je vois demain dans un clair de terre
Une vie pérenne sans vision,
Un avenir qui laisse à désirer
Un rêve à transformer.
Je vois demain dans un génome
Dans un clic d’une souris
Dans un capteur, dans un écran
Je le vois dans les lumières lointaines
Qui viennent d’ailleurs
Qui partent ailleurs,
Vers un monde compatible avec l’inconnu.
AIT MAMAR Said
8 avril 2009 à 1 01 56 04564
Texte :25
Sous le signe du sagittaire
Debout le long de cette rue qui m’a vu naître un soir de décembre, je scrutais des horizons incertains dans mes souvenirs qui tardaient à me revenir. L’image était imparfaite dans un calme troublant pour une cité habituellement animée. Les sanglots bloquaient l’envie de la parcourir puis petit à petit j’avançais comme attiré par un capteur .Le premier souvenir à faire son apparition, c’était notre déménagement vers une belle demeure au centre ville, tant espéré par mes grands parents ,synonyme d’une promotion que mon père attendait depuis quelques années déjà .Ce petit déplacement dans cette cité romaine comme je l’ai souvent entendu dans les histoires que me contaient ma grand-mère me fit changer ma vision du monde . Je voyais dans cette belle bâtisse au grand jardin des lendemains enchanteurs. Je commençais à découvrir les choses de la vie, les difficultés dans ce bas monde, l’école tous les jours à huit heures, moi qui regardait la neige tombait à travers la vitre accroché au pan de ma grand-mère, il fallait changer de train de vie, mes petites bottes avaient du mal à me faire avançait dans ce froid polaire mais il fallait le faire, dure apprentissage à l’orée de mes quatre ans. Cela n’était pas compatible avec les besoins de l’enfance dans un monde que j’avais du mal à comprendre. L’école que je fréquentais la seule qui avait une maternelle me fit apprendre à partager avec les enfants de mon âge. La directrice, m’apostropha un jour de décembre alors que je jouais au ballon tout seul. Petit veux-tu passer le ballon à tes camarades, non ! lui répondis-je d’un ton ferme. Elle s’en alla dans son bureau prit un cheval à roulettes et fit défiler un groupe d’enfants dessus autour d’un sapin de noël en me disant, reste dans ton coin avec ton ballon ! Insouciant je regardais les belles boules rouges qui scintillaient…
Puis d’un clic tout s’illuminait, je m’étais rendu compte que la vie après tout c’était découvrir comme un bébé qui apprend à marcher au gré des obstacles, il apprend ! Eh bien, j’apprenais ! Aujourd’hui, si je devais séquencer mon génome, curieusement il me renseignerait sur un parcours involontaire, ne dit on pas qu’il renferme tellement de secrets que la génétique tarde à transformer en réalité. J’aurais aimé ne jamais quitter cette maison qui reste gravé dans ma mémoire comme un clair de terre parce qu’elle garde les recoins de mon enfance. Cet espace où je me suis inventé un champs de jeu bardé de secrets, j’étais évidemment le maître des lieux, cette attitude provoquait l’ire de mon grand-père qui disait toujours que mon comportement laissait à désirer . Maintenant qu’ils sont tous partis, cette lumière brille toujours tournée vers la destinée pérenne qui est mienne celle de construire demain dans ce monde incertain. Elle reste belle cette image de la vie dans mon esprit, je me rends compte que le chemin parcouru m’a appris l’amour des miens, la considération des autres, moi qui avait tant espéré voir tant espéré conquérir qu’être né sous le signe du sagittaire n’était point une sinécure, pour dire que demain ne peut venir d’ailleurs.
Kamel
19 juillet 2009 à 23 11 30 07307
Papa fatmi brahim, je viens de lire ton texte avec tata nora et je te dis que je suis fière de toi. Bises en attendant la plage;
Wissem Fatmi