Vendredi 13 Mars 2009 2h04mn 03s
Nouveau commentaire sur l’article #2199 » Le mal se propage, crevons l’abcès ! »
Auteur : unami (IP: 209.195.122.180 , i209-195-122-180.cia.com)
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Mohamed qui y est absent. Physiquement seulement
Encore d’actualité. C’est vrai que les écrits ne meurent jamais. Sougueur des années 80 décrite dans ces bribes de poèmes éparses ressemble beaucoup au Sougueur actuel. Rien n’a changé. Sauf peut être Mohamed qui y est absent.
Physiquement seulement. Ceux qui écrivent ne meurent jamais. Ils reviennent a la vie chaque fois qu’on les lit, tel le sphynx qui renait de ses cendres!
Repose en paix mon frère Mohamed. Tu rêvais d’un Sougueur épanoui,d’une jeunesse instruite et engagée.
Hélas, ce n’est pas pour demain. Qui du poète ou du politique est capable de changer les choses? Bien sur quand il s’agit des choses, c’est le politique. Mais qu’en est-il de l’humain? -si humain existe encore- Le poète s’y sent chez lui. Car il parle du coeur au coeur, du coeur au cerveau et jamais l’inverse. Car le poète n’est pas cérébral. Il est naïf. Il est guidé par cette même naïveté infantile, mais tellement créative. Souvenez-vous: Le monde n’est vivable qu’a travers les yeux d’un enfant et le poète est cet éternel enfant, qui refuse de vieillir, qui refuse de pourrir. Mohamed, tu n’es pas mort. Six pieds sous terre Mohamed. Tu « freres » encore (pour reprendre un autre grand enfant célèbre).
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13 mars 2009
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