Mercredi 11 Mars 2009 22h11mn 17s
Nouveau commentaire sur l’article #2191 « Pour Mon frère Mohamed »
Auteur : maaradji khaled (IP: 41.201.102.137 , 41.201.102.137)
E-mail : maaradjik@yahoo.fr
Commentaire:
Tu n’es pas facile à oublier,Mohamed.
Je m’incline avec une pieuse pensée devant la mémoire de celui qui était l’engagement avec sourire, l’esprit fin qui s’intégrait dans n’importe quel milieu avec une facilité étonnante…
Je ne peux compter nos discussions amicales et passionnées.
Quand je revenais à Sougueur ,mon point de chute était toujours le Café Badri où je retrouvais la bonne et agréable Djemaa dont il faisait partie(ALLAH Yarhmou).Après les salutations d’usage, il me répétait toujours cette expression que je n’oublierai jamais : « Toi qui reviens de tes vagabondages, qu’est-ce que tu nous ramènes dans tes bagages ? »…..C’est une perte pour nous qui l’ont côtoyé,pour sa famille,ses amis, ses élèves,pour Sougueur… Tu n’es pas facile à oublier,Mohamed.
Que Dieu t’accorde sa Miséricorde ainsi qu’à toutes celles et tous ceux qui ont quitté ce bas-monde.
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http://nadorculture.unblog.fr/2009/03/11/pour-mon-frere-mohamed/#comments
12 mars 2009 à 22 10 55 03553
Mohamed en 1980-89
Extrais de quelques articles
« oh ! sage lecteur cet amant est amoureux de la vie, nous moisissons comme lui, à petit feu , nous succombons à l’ennui , ou allons-nous ? qu’adviendra-t-il de nous lecteur ami
A ceux qui luttent et refusent de mourir ainsi, à tous ceux qui sont nés pour vivre je dédie ce cris.
Suez ! courez ! tuez vous et vos enfants pour le béton, bande de fous pourquoi faire des salons, alors que désormais votre vie est sans saveur, sans horizons ? chaque chose en son temps, nourrissez,éduquer,soigner d’abord vos enfants. Edifier les hommes avant le béton , eux le véritable moisson. Les hommes ulcéreux,malades,fatigues,illétres,essoufflés à quoi serviraient les maisons somptueuse. »
« villes sans culture, sans livres, sans sport,sans théâtre,sans fleurs,sans lumière. les télévisions orientées vers le Caire, feuilletons sans sens, sans fin,Histoires à dormir debout, assis……….
Les jeunes s’éternisent aux cafés,respirent …le football marmelade assaisonnée au RAI somnifère, enfin la drogue ultime gouffre ou l’on se perd……………
Yen a marre ! yen a marre de dire y en a marre ! sahitou ! ça va ?çà ne va pas ? comme-ci comme ça . Fatigues, lassés,affames on se quitte le soir. On bouffe chez soi un film sans joie, on se couche mais on ne dort pas. au matin le refrain : çà va ?
………………La réalité est la .je défis qui ne me croit pas. Le mal se propage, crevons l’abcès !
Mohamed Mostefaoui
Sougueur 1982