Présentation du roman
Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
« La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).
Biographie
Victor Hugo
(1802-1885)
Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l’un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont « Notre-Dame de Paris » (1831) et « Les Misérables » (1862).
L’auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d’irritation qu’il suscite encore aujourd’hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné.
Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation d’Hernani, qui est l’occasion d’une célèbre «bataille»), Victor Hugo s’affirme comme le chef du romantisme.
De 1830 à 1840, il publie: un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831) ; des drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s’amuse (1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas. (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l’expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles d’automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les Rayons et les Ombres (1840).
Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles..
Livres écrits par Victor Hugo
Les Misérables
Auteur: Victor Hugo
C’est un tel classique qu’on a toujours l’impression de l’avoir déjà lu… ou vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples – n’oublions pas que Victor Hugo est le premier à introduire l’argot et la langue populaire dans le français écrit -, ses histoires et son temps.
Notre-Dame de Paris
Auteur: Victor Hugo
Dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue. Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un véritable chef d’œuvre.
Victor Hugo, Théâtre complet
Auteur: Victor Hugo
Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland Purnal. Tome 1 . Théâtre de jeunesse : Irtamène – À quelque chose hasard est bon – Inez de Castro – Amy Robsart. Drames en vers : Cromwell – Marion de Lorme – Hernani – Le Roi s’amuse – Ruy Blas – Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers (suite) : Les Burgraves – Torquemada. Drames en prose : Lucrèce Borgia – Marie Tudor – Angelo, tyran de Padoue. Théâtre lyrique : La Esmeralda. Théâtre en liberté : La Grand-mère – L’Épée – Mangeront-ils? – Sur la lisière d’un bois – Les Gueux – Être aimé – La Forêt mouillée. Théâtre moderne : Mille francs de récompense – L’Intervention – Fragments – Appendice, 1936 pages. Bibliothèque de la Pléiade (No 170), Gallimard.
Fiche pratique
Auteur :
Victor Hugo
Titre et date de publication:
Le dernier jour d’un condamne , publié en 1829.
Genre :
Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier.
Histoire :
Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.
Composition :
Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ;
L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.
Personnages :
Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule
Cadre:
Lieux :
Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.
Durée :
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.
Thèmes :
La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice
Enonciation, focalisation :
Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne.
Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne : accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde..
CADRE SPATIO-TEMPOREL :
L’histoire se passe dans les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui passe depuis le moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud pour être guillotiné.
Chapitre I : « 5 semaines ».
Chapitre VIII : le narrateur dresse un calendrier approximatif du temps qu’il lui reste à vivre : il est déjà dans la dernière semaine.
Le personnage principal
Le personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un truand. Il semble cultivé, sait lire et écrire et connaît même quelques mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l’argot parlé par la friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne décèle en lui aucune grandeur particulière, il est le jouet de sentiments classiques : la peur, l’angoisse, la colère, l’amertume, la lâcheté, l’égoïsme, le remord… Jusqu’au bout, il espère sans y croire un grâce royale qu’il n’obtiendra jamais.
On découvre quelques bribes de sa vie passée : il a une mère et une femme qui sont évoquées brièvement, l’homme semble être résigné sur leur sort. On s’attache plus longuement sur l’évocation de sa fille Marie qui est la seule visite qu’il reçoit avant son exécution mais qui ne le reconnaît pas et croit son père déjà mort. Il raconte aussi sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille de son enfance. On ne sait rien de son crime, sinon qu’il reconnaît mériter la sentence et qu’il tente de s’en repentir. Croyant, il n’a cependant pas une spiritualité telle qu’il puisse trouver dans la prière la consolation, ni suivre le discours du prêtre qui l’accompagne du matin jusqu’à l’heure de son exécution.
Le faux chapitre XLVII, censé raconter sa vie est vide.
Victor Hugo s’est longuement expliqué sur l’anonymat de son personnage. Il ne voulait pas qu’on puisse s’attacher à l’homme, en faire un cas particulier, dire « celui-là ne méritait pas de mourir mais d’autres peut-être…. » Il devait représenter tous les accusés possibles, innocents ou coupables car selon Victor Hugo, la peine de mort est une abomination pour tous les condamnés.
Tanawiyaty
synopsis
Le livre se présente comme le journal qu’un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence et où il relate ce qu’il a vécu depuis le début de son procès jusqu’au moment de son exécution soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la vie d’avant. Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné (il existe quelques vagues indications qui laisseraient croire qu’il a tué un homme) : l’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme…
Le schéma narratif du récit:
Situation initiale: Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa fille Marie, sa femme et sa mère jusqu’au jour du crime qui a bouleversé sa vie.
NB: Le récit commence in medias res c’est-à-dire le moment où l’action est déjà engagée. Puisque le plus important est la contestation de la peine de mort, l’auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est facile de déduire cette situation initiale à travers les flashes back. (Analepses, retour en arrière).
Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage.
Péripéties: Le jugement, l’emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, recherche du condamné d’une solution pour préserver sa vie.
Dénouement: Il n’y a pas de dénouement. Le condamné garde l’espoir jusqu’à quelques moments avant l’exécution, mais à ce moment-là les bourreaux préparent l’exécution. C’est une clausule ouverte, aux lecteurs d’imaginer la fin puisque pour l’auteur ce qui compte c’est la dénonciation de l’horrible peine de mort.
Situation finale: L’auteur a fait l’ellipse de la situation finale pour amener le lecteur à réfléchir.
Personnages
le condamné à mort :
nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI : « Quand elle sera grande … Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon coeur. »
les geôliers:
quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal.
Sa fillette:
Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne voit plus depuis plusieurs mois.
Sa femme et sa mère :
Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la famille du condamné a mort : « J’admets que je sois justement puni ; ces innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les ruine. C’est la justice. » (chap.IX)
Le prêtre:
Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.
La foule :
C’est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.
14 novembre 2009 à 16 04 38 113811
merci pour les résumé
27 décembre 2009 à 21 09 41 124112
merci.on remarque que a cette époque on corrigé le mal par le mal de plus personne n’a le droit de ne jugé et de decider de la vie des autres seul dieu peut le faire.c’était une politique qui ne laisse pas de chance aux criminelle de ce corriger
12 janvier 2010 à 22 10 54 01541
merci pour les personnage bocoupe baaye
1 avril 2010 à 22 10 13 04134
merci beucoup pour les personnage merci merci bay
6 février 2011 à 12 12 53 02532
mercis bicoup