Samedi 17 Janvier 2009 20h43mn 02s
Auteur : djilali benbrahim
E-mail : bendji1er@yahoo.fr
Ainsi va la vie
La responsabilité du père pour l’enfant ;
Est plus lourde à porter qu’un poids d’éléphant.
Ce n’est pas uniquement gite et couvert ;
C’est surtout esprit universel et ouvert.
Peut on se regarder dans une glace sans frémir ;
Pendant que lui ne fait que râler et gémir.
La complexité de la vie et ses dédales,
S’arrangeront pour lui faire perdre pédales.
L’équilibre de son mental nous incombe ;
Veillons surtout à ne pas en faire une bombe.
Apprenons lui à apprécier la lecture ;
Et un jour c’est sûr, il sera Homme de culture.
La joie du père sera alors sans partage ;
De le voir équilibré dés son jeune âge.
Un jour il aimera et prendra épouse ;
Epanouie, celle-ci ne sera point jalouse.
Ils verront à leur tour les tous petits grandir ;
Et comprendront qu’être parent est un plaisir.
Mais pour vous, ce parent ne sera qu’un enfant ;
Qui, avec le temps, est devenu votre fan.
Djilali Benbrahim.
17 janvier 2009 à 23 11 18 01181
Mon cher ami
Ce poème est beau dans tous les sens du mot.Mais ce que je retiens le plus de sa moralité ,ce qu’il est du devoir des parents d’assister leurs enfants dans l’étape cruciale qui est la quête angoissée de soi-même.Cela pourrait s’accomplir avec des débats familiaux où l’enfant doit avoir son entière place tout en l’orientant vers l’universalité.
Et ce travail ne se parachève que par l’incitation de l’enfant d’aller vers le livre,comme tu le dis si bien.
Je termine par cette belle citation de de Lamartine: »Toutes les grandes lectures sont une date de l’existence. »