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Mon cher et brave Tahar

31 décembre 2008

BENBRAHIM DJILALI

 

 

Mardi 30 Décembre 2008 23h07mn 15s

http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/30/avertissement/

Auteur     : djilali benbrahim (IP: 41.201.98.37 , 41.201.98.37)
E-mail     : bendji1er@yahoo.fr
Commentaire:
Mon cher et brave Tahar,
Je dis Tahar et non point Duc de dzarite.
Dans un premier temps tu m’as reproché de ne pas avoir cité la belle rose dans le récit «  au royaume de bloguie 2 » et je t’ai répondu que ce n’était pas du tout un oubli. J’ai voulu l’épargner et ne pas la mêler aux manigances masculines. Ce sont bien les mots que j’ai utilisés dans l’email.


Maintenant tu me reproches d’avoir utilisé des mots et des qualificatifs qui sont assez durs et qui ne donnent pas le beau rôle au Duc de Dzarite. Je suis tout à fait d’accord avec toi. Cependant, il me semble que tu confonds un peu les choses, quoique ça me fasse plaisir, alors vraiment plaisir, que tu te confondes à un de mes personnages, puisqu’en vérité il s’agit bel et bien de personnages fictifs.
Que dirait celui qui se reconnaitrait dans le vicomte ABIDJAM, qui provoqué l’émeute par sa petite phrase « chahut de gamin » ? Que dirait Si khaled, s’il s’identifiait au pauvre moine indou qui revient du Tibet pour manger de la poussière dans des couloirs mal éclairés ? Et le pauvre général qui prétendait devenir Président et qui se retrouve contraint de lire une motion de soutien à une « OHDA THALITHA3. Que penses-tu du paisible patriarche qui emploie un langage ordurier et menace par les armes ? Et le marquis qui fomente les coups bas ?
Je termine en te disant encore une fois que cela me fait vraiment plaisir de voir que tu as bien lu ma petite histoire et que tu la trouves bien vivante.
Très amicalement et bonne année.
PS : Si jamais au royaume de bloguie 3 il y aura, on s’arrangera peut être, je dis bien peut être, pour donner un bon quelque chose à notre tonitruant duc.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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3 Réponses à “Mon cher et brave Tahar”

  1. Famiratrice Dit :

    salutations respéctueuses à tous,
    c’est tellement beau ce que vous faites monsieurBendji1°et toute l’equipe,continuez d’ecrire ,on adore vous lire.
    Bon an à vous et à tous les blogueurs et les charments personnages du royaume de bloguie2,merci

  2. fares el ahlam Dit :

    Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitrailleCent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille,
    Cent mille hommes, couchés sur un champ de bataille,
    Tombés pour leur pays par leur mort agrandi,
    Comme on tombe à Fleurus, comme on tombe à Lodi,
    Cent mille ardents Palestiniens, héros et braves martyres,
    Morts dans un tourbillon d’évènements sublimes,
    D’où prend son vol la fière et blanche Liberté,
    Sont un malheur moins grand pour la société,
    Sont pour l’humanité, qui sur le vrai se fonde,
    Une calamité moins haute et moins profonde,
    Un coup moins lamentable et moins infortuné
    Qu’un innocent, – un seul innocent condamné, -
    Dont le sang, ruisselant sous un infâme glaive,

    Qu’un juste assassiné dans la forêt des lois,
    Et dont l’âme a le droit d’aller dire à Dieu : Vois !

  3. fares el ahlam Dit :

    LA REVOLTE

    Vers une ville au loin d’émeute et de tocsin,
    Où luisentles chars et les missiles,
    En tout-à-coup de fou désir, s’en va mon coeur.

    Les sourds tambours de tant de jours
    De rage tue et de tempête,
    Battent la charge dans les têtes.

    Le cadran vieux d’un beffroi noir
    Darde son disque au fond du soir,
    Contre un ciel d’étoiles rouges.

    Des glas de pas sont entendus
    Et de grands feux de toits tordus
    Echevèlent les capitales.

    Ceux qui ne peuvent plus avoir
    D’espoir que dans leur désespoir
    Sont descendus de leur silence.

    Dites, quoi donc s’entend venir
    Sur les chemins de l’avenir,
    De si tranquillement terrible ?

    La haine du monde est dans l’air
    Et des poings pour saisir l’éclair
    Sont tendus vers les nuées.

    C’est l’heure où les hallucinés
    Les gueux et les déracinés
    Dressent leur orgueil dans la vie.

    C’est l’heure – et c’est là-bas que sonne le tocsin ;
    Des crosses de fusils battent ma porte ;
    Tuer, être tué! – Qu’importe!

    C’est l’heure.

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