Mardi 16 Décembre 2008 19h46mn 48s
Un nouveau commentaire sur l’article #1007 « Ta Qasida tu l’auras » attend votre approbation.
http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/16/ta-qasida-tu-lauras/
Auteur : fares el ahlam (IP: 41.201.78.99 , 41.201.78.99)
E-mail : faridafares@yaoo.fr
Commentaire:
A tous les blogueurs, je dis ploguez !! Donnez-nous de la joie, du sourire et faites renaître l’espoir confisqué par la médiocrité des hommes qui nous gouvernent.
Nourrissez nos neurones avec votre science et votre culture, même si celles-ci n’est pas le fruit de vos propres neurones.
Creusez, fouillez, copiez ; ne laissez aucun livre sans l’épousseter pour le lire et le relire.
Donnez-nous un peu de cette sève nourricière qui dort dans chaque page de ces volumes qui meublent et ornent nos bibliothèques et perfusons nos cellules qui ont tendance à s’atrophier.
Lisons ! Lisons ! Lisons ! A l’image de Bendji 1er , qui pore, sa hotte sur le dos et, tel le père noël, distribue ses cadeaux sous forme de proses et de poésie en semant à tout vent.
Maaradji pour qui chaque réponse, chaque commentaire sont attendus avec impatience car source de bonheur et d’espoir.
Said dont la longue absence nous pèse ! L’artiste, le poète, et l’écrivain doit nous revenir pour égayer nos soirées monotones sans lui, sans vous tous.
Tahar, je n’ai pas eu le plaisir de le connaître, mais il me suffit de le lire pour le deviner sympathique et érudit. Il est suffisant pour moi de le voir venir à chaque ouverture du blog avec sa Rose qui parfume et embellit la scène et qui nous permet des lendemains meilleurs pour ce pays qu’on chérit et qu’on pleure.
Le longiligne Kadda, le nonchalant, l’éternel souriant ; ses interventions nous extirpent des sourires en ces temps de disette.
Cheikh Khaled que j’estime et que je respecte beaucoup. C’est un narrateur des temps anciens, mémoire intarissable, nous parle avec art de ces personnages qui ont fait l’histoire de Sougueur. Nous lui demandons de plonger la main dans sa gibecière et, à défaut de cartouches et de gibiers chassé, de sortir sa caméra numérique pour chasser l’image et immortaliser l’état de délabrement et de laisser-aller de notre ville.
Je n’ai nullement oublié tous les autres ! leur tour viendra ou leur mérite sera ici étalé car c’est de bons narrateurs et poètes. On les aime tous autant, mais mes doigts s’engourdissent et le tour de mes enfants de prendre la relève devant notre unique PC est arrivé, alors je vous dis tous continuez à fouiner et émerveillez nous.
AMICALEMENT VOTRE : FARES EL AHLAM
16 décembre 2008
BENBRAHIM DJILALI, Fares El Ahlam, MAARADJI KHALED