Samedi 13 Décembre 2008 0h58mn 51s
« DOCTEUR BELARBI ABDELKADER »
DOCTEUR BELARBI ABDELKADER a écrit:
UNE LETTRE A MON CHER CONFRERE.
Tu es le miroir dans lequel je me regarderai.Je verrai en toi toutes mes insuffisances,mes incompétences,etcombien je suis gauche quand je suis seul a consommer le lot de souffrances propre au soignant .Tu viendras près de moi me prêter main forte ,tu eclaireras ma lanterne ,tu me donneras ton avis ,et ensemble nous accomplirons la science des propheties.
Tu sais le savoir suprême n’appartient qu’a Dieu .Nous autres humains nous essayons de faire de notre mieux ,c’est tout.Je n’aurai aucune hesitation à te demander un avis sur un cas un ou autre.Tu me transmettras la connaissance et tu eclaireras ma voie.
Cher confrère.
Tant que tu seras vivant ,je vivrai dans la dignité.Car tu me defendras quand je serai injustement attaque.Tu me soutiendras dans ma detresse.”un pour tous,tous pour un.disaient jadis ATHOS PORTHOS et ARAMIS ”.nous somme des confrères .pas des compères bien sûr!
Je sais que mes enfants vivront dans la dignité quand je serai mort ,car vous prendriez soin d’eux en mon abscence,et que vous m’évoqueriez chaque fois que se réunit la famille médicale.
Cher confrère.
Je suis sûr que tu vas abondonner toute idée d’individualisme et que tu vas m’apprendre les choses que j’ignore dans l’art médical.car la science ,les livres,et l’eau doivent bouger d’un endroit à l’autre si non il produit une putrefaction.
Je compte te rendre visite quand je m’installerai pour la premire fois en cabinet privé .J’aurai besoin de ton soutien et de tes conseils.
Je voudrais aussi te dire une chose mais bien entre nous ,tu sais que le fait d’etre médecin est une grande chance pour nous autres ,les enfants du peuple .Mais comme nous n’avons jamais vécu ni dans les manoirs ,ni dans les châteaux ,nous avons raté certaines choses de la vie mondaine.Choses pourtant tres importantes.mais qui ne sont pas comprises dans la formation médicale.Tu m’apprendras discretement toutes ces choses du savoir vivre,car l’heure est a la mondialisation .Tu dois m’apprendre à m’habiller convenablement ,et à bien me tenir dans une table VIP.
Tu sais bien qu’entre copains il y’a pas de problèmes,mais je tiens pas a etre ridicule, si jamais on m’invitea un congre international a BEYROUT, ROME,MUNICH.Je voulais te parler aussi d’autre chose .il parait que certain confreres,DIEU leur pardonne ,se denigrent et se calominent les uns des autres,ils s’entredevorent de mille une facon.Helas ces comportements barbare deviennent de plus en plus coutumier , et pretends savoir plus que les autres .Je ne parle pas des souffrances du medecin, qui essuie tous les mepris.
mon cher confrere.
J’avais besoin de te parler de toutes ces choses là .Il faut que les choses changent pour nous tous comme dans un puzzle, chaque pièce doit retrouver sa place originale ! »Dieu ne change rien a l’etat d’un peuple que celui -ci n’ait ,auparavant transformé son ame »
salutations confraternelles!
DOCTEUR BELARBI ABDELKADER TIARET
20 février 2009 à 16 04 08 02082
Cher ami
je suis très content que ma lettre soit publiée dans votre site . J’ai passé une bonne periode de ma vie de praticien à écrire, poemes, textes mais c’est surtout le conte populaire qui est l’une de mes grandes passions. Ces derniers temps je m’exprime par le dessin et ma maison est le lieu où j’expose car j’accroche aux murs chaque travail que j’éxecute.
Docteur abdelkader belarbi