Tourisme ou immigration
Dimanche 23 Novembre 2008 20h08mn 08s
http://nadorculture.unblog.fr/2008/11/23/merci-dexister-ya-bain-brahim/
Auteur : fares el ahlam (IP: 41.201.107.17 , 41.201.107.17)
E-mail : faridafares@yahoo.fr
URL : http://deleted
Commentaire:
A TOI DJILLALI QUI SEMBLE AIMER LES BLAGUES/
Un homme s’ennuie au Paradis,il demande à Saint-Pierre d’aller faire un tour en enfer,pour voir.Là, tout est gai, il ya des femmes, des boissons et la semaine est vite passée.Il retourne au Paradis et s’ennuie à nouveau.
Cette fois il demande l’Enfer définitivement. Et surprise: il est reçu par des coups de fourches,et les diable le martyrisent.
-Comment me recevez-vous? La semaine dernière, ça n’était pas comme ça! et le chef des diables lui répond:
- Il ne faut pas confondre tourisme et immigration.
À propos de Artisan de l'ombre
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie
Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme .
Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali …
Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère .
Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains.
Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
Voir tous les articles de Artisan de l'ombre →
24 novembre 2008 à 0 12 03 110311
La bourrée et seize en fans
Travaillez, sans grande peine
Car les fonds j’en prends grand soin.
Un riche Fellah, se sentant hors d’haleine
Fit venir ses seize fans, leur parla en Babouin.
Garde-à- vous, leur dit-il, devant l’ermitage
Que n’osent fouler vos pas lents.
Un trésor caché sous l’édredon
Je ne sais si on doit, mais je pense au village
Vous le ferez trouer, et conviendrez de tout.
Remuez bien vos hanches dés qu’approchera l’Oût
Dansez, chantez, buvez ; ne laissez nulle fesse
Où vos yeux se repaissent
Le père dort, les fils fichent le camp
Déçus, surtout, par le peu de temps restant
Ils partent plein de rage.
Des gens, point fâchés, au père rendent hommage
De montrer à celui qui dort
Que le repos est un grand trésor.
Djilali Benbrahim.