Auteur : Djilali Benbrahim
Bonjour de sous grrrr !
Comme promis je me mets à pianoter sur mon clavier pour essayer de contribuer, même modestement à l’approvisionnement de ton blog, qui est le notre en réalité, en matière première. Il faut avouer que la canicule n’arrange pas beaucoup les choses d’autant plus que nous n’avons aucun moyen de lutter contre ; mais que veux-tu, restons philosophes et faisons contre mauvaise fortune bon cœur. De la matière et encore de la matière, voilà le vrai débat ; seulement avec toutes les nouvelles taxes envisagées dans la loi de finances complémentaires, notamment sur les véhicules, je ne pourrais rien te garantir quant aux idées véhiculées par cette blague. Euh Pardon ! J’allais dire blog…
Je disais donc que pour éviter toute forfaiture et surtout pour ne pas déclarer forfait, je tenais, en honnête contribuable soumis au régime forfaitaire et sans aucune forfanterie, à apporter ma contribution à cette sacrée mais néanmoins dure besogne…
J’ai dû m’interrompre un moment pour répondre au téléphone et au retour je t’avoue qu’en me relisant que je n’ai pas compris grand-chose à toutes ces inepties, au point où j’ai failli tout supprimer. Ne m’en veux pas trop, c’est la chaleur qui me joue des tours et je te promets que la prochaine fois je m’appliquerai, pour ne pas dire je m’impliquerai, mieux.
Tu sais Djamel, ca me fait vraiment plaisir et je tiens à te féliciter pour le travail que tu fais. Au fait, je t’appelle toujours Djamel alors que les autres t’appellent Rabah, et ceci est un « Fel Mlih » A ce propos, je vais te raconter une anecdote ; On dit qu’a la mort du Président Boumediene, Rabah Bitat, alors président de l’assemblée nationale, qui a assumé l’intérim de la Présidence de la République, a été approché par des journalistes qui voulaient savoir s’il allait garder le cap du socialisme ou s’il allait se tourner vers le capitalisme. Sa réponse fut toute simple : Bitat à droite ou Bitat à gauche ; Rabah Rabah !
Voila que ça me reprend… Je crois qu’il est grand temps de te quitter.
Djilali BenBrahim.
PS : je te promets de t’envoyer bientôt mes éditos de l’Echo de Tiaret ainsi que quelques extraits du livre « Mon Algérie à moi »
16 août 2008
BENBRAHIM DJILALI